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Bloc de voileux
30 juin 2011

Gazatte Graffiti du 30 Juin 2011

Jeudi 30 juin Astipalaia-Tilos 49 milles

Ce matin, en nous levant à 8h tous nos compagnons de route (Agapie, Bel Aurore, Fou de Bassan et Marie Galante) avaient levé l’ancre et la VHF annonçait déjà que Marie Galante avait pêché un « gros germon ». Ce soir poisson au menu ?

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Nous n’aurons pas pris le temps de profiter des charmes du beau mouillage d’Astipalaia. Nous ne faisons que courir après nos rendez-vous !

Graffiti partira à 9h15 après avoir fait faire sa promenade à Fifi (Fitzgerald notre chien). Au programme soleil et moteur…

Mercredi 9 juin Astipalaia

Il est 6 heures du matin quand nous quittons l’ile d’Anafi et sitôt sortis de la baie la houle se calme et comme il n’y a pas de vent c’est au moteur que nous rallions l’ile en forme de papillon d’Astipalaia.

Nous y sommes à midi et nous choisissons le mouillage de Maltezana protégé par 2 ilots pour comater toute la journée.

Mardi 28 Juin Santorin

Si le coup de vent avait permis à la flottille de se retrouver réunie sur le même quai, le retour du beau temps a vu chacun repartir de son coté.

Marie Galante, Fou de Bassan et Graffiti ont pris le chemin de Santorin, une des plus belles iles des Cyclades. Comme Milos on entre en bateau dans le cratère d’un immense volcan en forme de croissant. Et on aperçoit le village une rangée de maisons blanches alignées en haut d’une falaise qui plonge dans la mer. Il est midi nous déjeunons sur nos bateaux en nous laissant dériver à l’intérieur du volcan.

Le mouillage autour de Santorin n’étant pas très confortable (les fonds au ras de la falaise dépassent les 100 mètres) nous nous dirigeons vers l’ile voisine Anafi pour y passer la nuit.

Quand nous y arrivons nous y retrouvons Bel Aurore et Agapie qui ont préféré venir directement. Le mouillage aurait pu être agréable : plus de vent, toute la place pour nous aucun touriste n’est venu s’y aventurer mais voilà c’est l’enfer ! Une petite houle d’abord insignifiante vient chahuter nos bateaux par le travers. Cette houle devient complètement insupportable dans la nuit. Ce qui fait qu’au lever du jour, nous décollons les uns après les autres.

Jojo

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